Poemes

Mwarf c'est sympa, Patate <3

A mon tour, je vous en met que bizarrement les gothique adorent...

La mort :

J'attends que vienne mon heure,
Blottie dans la peur.
Partir de ce monde où tout est faux
Où pour survivre il faut etre beau...

Laissez moi m'enfuir, laissez moi mourir,
De ce monde hideux je veux fuir.
Je n'ai plus envie de rester,
Une seule idée alors, m'en aller...

J'ai aimé la vie, j'aimerai plus la mort
Je ne rêve plus que de voir mon âme quitter ce corps.
Pitié, faites qu'à ma fin je ne sois plus rien
Car je suis lasse, d'essayer de tout changer en vain .

Sombrer dans l'oublie, comme cela me fait envi,
Ce fruit qu'est la vie
Je te l'offre en cadeau
Te laissant ce fardeau.

N'etre plus que poussière,
Enfin quitter ce monde de lumière.
Je ne veux plus rester,
Une seule idée hante alors mes pensées, m'en aller.

Je ne veux plus respirer,
Que mon souffle puisse enfin ce s'arreter,
Et penser d'en avoir enfin terminer

Laissez moi m'enfuir, laissez moi mourir,
Je ne veux plus soufrir.
Je me suis bien amusée, il est grand temps de pouvoir ce reposer
Et de ne plus jamais se reveiller.

Sommeil eternel, cette perspective est si belle,
Et ne jamais plus entendre le chant des hirondelles.
Mort attend moi, ouvre grand tes bras
Et emmenes moi, dans ce monde qui n'est pas...

Mort, mort emmenes moi avec toi; mort, mort embrasses moi une derniere fois
Car si je vis aujourd'hui, ce n'est que pour toi

Et un sur les femmes, parceque oui je suis feministe :x

Charmantes et desirées,
Elles savent jouer de leur sensualitée.
Les hommes de tout temps ont été tentées,
Et pourvus qu'a jamais elles gardent leurs pouvoir de charmer.

L'on a voulu les priver de leurs charmes,
Ces puissants machos ont eu peur de faibles femmes,
Car elles ont l'amour comme arme.

Mais regardez les ces pretes pretendus etre purs,
Porter des robes de femmes comme armure...
Mais contre elle mener des croisades, pour une petite pomme du croquer
Et ont trop longtemps été detestées.

Ô que cela peut m'amuser,
De voir que de si petites creatures ont longtemps sût les effrayer.

Un peu de pitie, ils ont 2 ans et demi...

Vais polluer en metant un des miens que j'aime particulièrement...


Les Lamentations Héroiques

Les Morts ne peuvent décrire
L'Enfer, tel un Empire.
Seul les Vivants voient l'horreur
Des champs de batailles, pour leur honneur.

Ceux qui survivent deviennent Héros
Contre les Morts qu'on oublie, sans un héraut,
Qui pourrais annoncer leur Destin:
Celui qui n'est pas le mien.

Mon cheval de bataille se trouve seul
Dans les écuries; silence, face à un cercueil.
Mon arme est rangée dans un coin
De ma demeure; elle ne me servira point.
Seul les Vivants utilisent des armes,
Et moi, je suis mort avec leurs larmes.

Qui peut me donner cet honneur,
Celui d'être des leurs,
Quand on voie les champs de batailles:
Les doutes et fantômes m'assaillent.

Jamais je n'aurais de repos
Tant que je ne prononcerais pas ces mots.
Qu'est-ce qu'un héros, mes amis,
S'il ne peut sauver leurs vies?

Tient je m'y met aussi, alors je sais,les puristes qui le connaissent par coeur, les paroles sont pas dans l'ordre, et pour ceux qui aurons le courage de lire jusqu'au bout, pardon mais ma barre d'espace est morte...
alors ca commence comme ca ( et de tête pour ceux qui en douteraient XD)

Avons nous donc commis une action étrange
Explique si tu peux mon trouble et mon effroi,
Je frissonne de peur quand tu me dis mon ange
Cependant je sens ma bouche aller vers toi.

Ne me regardes pas ainsi toi ma beauté,
Toi que j'aime a jamais ma soeur d'éléction
Quand même tu serais une embuche dréssée
Dès le commencement de ma perdition.

Qui donc devant l'amour ose parler d'enfer,
Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier dans sa stupidité,
S'éprennant d'un problème insoluble et stérile,
Au choses de l'amour mêler l'honneteté.
Celui qui veut unir dans un accord mystique
L'ombre avec la chaleur
La nuit avec le jour
Ne chauffera jamais son corps paralytique
A ce rouge soleil que l'on nomme l'Amour,
On ne peut ici bas contenter qu'un seul Maître.

Mais l'enfant épenchant une immense douleur
S'écria : je sens s'élargir tout mon être,
Un abime béant, cet abime est mon coeur.
Brûlant comme un volcan profond comme le vide
Rien de rassasiera ce monstre gémissant
Et ne rafraichira la soif de l'euménide,
Qui la torche à la main, la brûle jusqu'au sang.

Que nos rideaux fermés nous séparent du monde,
Et que la lassitude emmène le repos
Je veux m'anéantir dans ta gorge profonde
Et trouver sur ton sein la fraicheur des tombeaux.


Déscendez! déscendez lamentables victimes!
Déscendez le chemin del'Enfer éternel!
Plongez au plus profond du gouffre où tout les crimes
Balayés par un vent qui ne vient pas du ciel,
Jamais un rayon frais n'éclairera vos quenelles
Dans les fentes des murs des miasmes fièvreux
Filtres en s'enflamment ainsi que des lanternes
Et penètrent vos corps de leurs parfums affreux!
Faites votre déstin, âmes désordonnées
Et fuyez l'infini caché en vous.


Hyppolite chère soeur, comprends tu toutes ces choses,
Comprends tu maintenant qu'il ne faut pas offrir
L'hollocauste sacré de tes premières roses
Au souffle violent qui pourrait les flétrir.
Hyppolite cher coeur, tourne donc ton visage,
Toi mon âme et mon coeur, mon tout, ma moitié.
Tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles.
Pour un de ces regards, charmant, beau, divin,
Des plaisirs plus obscures je lèverai les voiles
Et je t'endormirai dans un rêve sans fin.



Beaudelaire ( sauf pour le changement d'ordre et les fautes d'orthographes, la c'est moi... )

Enfin un forum avec un topic poétique actif.... LUV :3 <3

Enfin bon bref j'suis pas sur mon pc donc apr contre va falloir attendre un chouia pour les miens.